La santé au travail n’est pas une faveur, c’est un droit fondamental. L’employeur a le devoir de préserver la santé physique et mentale de ses salariés : il doit prévenir les risques, adapter les conditions de travail et intervenir dès qu’une situation devient problématique.
Pourtant, de nombreux salariés continuent à subir des conditions qui dégradent leur équilibre : surcharge, pressions, isolement, harcèlement, absence d’écoute ou de mesures d’aménagement.
➡️ Si vous vous reconnaissez dans ces situations, il est urgent d’agir — non pour entrer dans un conflit, mais pour mettre fin à une situation qui met en danger votre santé. En tant qu’avocat en droit du travail, j’interviens pour vous aider à réagir rapidement, préserver votre santé et faire respecter vos droits.
La souffrance au travail peut se manifester de multiples façons : fatigue chronique, troubles du sommeil, anxiété, perte de motivation, irritabilité, pleurs fréquents, isolement… Ces signaux ne doivent jamais être minimisés. Ils sont souvent le signe que votre environnement professionnel ne respecte plus votre équilibre.
Que faire dès les premiers signes :
Des cellules d’écoute psychologique et associations spécialisées peuvent aussi offrir un soutien précieux. Agir tôt, c’est éviter que la situation ne s’enracine.
Lorsqu’un salarié rencontre des difficultés liées à sa santé ou à ses conditions de travail, l’employeur doit réagir. Il a une obligation légale de prévention et de protection. Cela signifie qu’il doit :
➡️ Si votre employeur reste inactif, ou au contraire vous met la pression pendant votre arrêt, il manque à son obligation. Dans ce cas, il est essentiel d’être accompagné pour faire respecter vos droits, sans attendre que la situation se dégrade davantage.
Lorsque la santé du salarié ne permet plus de reprendre son activité dans les mêmes conditions, le médecin du travail peut déclarer une inaptitude. Cette décision doit ouvrir une phase de recherche de solutions : reclassement, adaptation du poste, aménagement des horaires ou changement de service.
L’employeur ne peut licencier pour inaptitude qu’en dernier recours, après avoir prouvé qu’aucun reclassement n’est possible. Si la procédure est précipitée ou mal conduite, le salarié peut agir pour faire corriger la situation. Contactez-moi pour plus d'informations.
En tant qu’avocat, j’interviens pour :